Journée Internationale de la Femme

Journée Internationale de la Femme

Le 8 mars, Journée internationale de la femme, Dianova organise un événement parallèle à la 57ème session de l’ONU sur la condition de la femme qui se tient actuellement à New York. L’événement sera consacré à l’expérience de Dianova dans ce domaine et aux moyens qui permettent de combattre les violences faites aux femmes et aux filles, notamment via l’éducation. A l’occasion cette Journée de la femme, l’ensemble de l’organisation et des collaborateurs de Dianova s’associe à l’ONU pour exiger de tout mettre en œuvre pour mettre un terme à ces violences !!

Ensemble, prenons la parole pour mettre un terme aux violences faites aux femmes ! Parce que :

  • « Dans certains pays, près de sept femmes sur dix sont battues, violées, violentées ou mutilées.
  • Près de 60% des victimes du trafic international d’êtres humains sont des femmes et des enfants
  • Sur les 2.5 millions de personnes chaque année victimes du trafic et forcées à l’exploitation sexuelle, le travail forcé, l’esclavage ou la servitude, 80% sont des femmes ou des filles.
  • Les femmes et les filles souffrant de handicap sont davantage susceptibles d’être victimes d’abus
  • De 100 à 140 millions de femmes ont été victimes de mutilation génitale et plus de 3 millions de jeunes filles courent ce risque chaque année
  • Une jeune femme sur cinq est victime d’abus sexuel, le plus souvent par un membre de sa propre famille
  • 15% des femmes séropositives vivant en Afrique subsaharienne ou dans le Sud-est asiatique ont été victimes de mauvais traitements après avoir dévoilé leur statut sérologique.
  • Chaque année le nombre de femmes victimes des soi-disant « crimes d’honneur » pourrait approcher les 5000
  • Plus de 77 millions de jeunes filles dans le monde ne sont pas inscrites en éducation primaire ou secondaire. En conséquence, ces femmes qui ne reçoivent pas d’éducation sont plus vulnérables du fait qu’elles ont moins d’opportunités et de possibilités de choix.
  • La violence à l’endroit des femmes un phénomène normal et accepté dans de nombreux pays. »

Extrait du document édité par www.unwomenforpeace.org