Portail des bonnes pratiques de l’OEDT

Bonnes pratiques en toxicomanie: ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas

 

"Les gens aiment sortir … Et il n'est pas question de les en empêcher. Mais, comment pouvons-nous faire en sorte que ce soit plus sûr pour eux? Grâce au portail "Meilleures pratiques" de l'OEDT, nous allons vous dire ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Nous allons vous donner toutes les preuves scientifiques, des exemples, des outils pratiques et des lignes directrices pour trouver des interventions efficaces. Découvrez ce qui fonctionne dans les domaines de la prévention de la toxicomanie, du traitement, de la réduction des méfaits et de la réinsertion sociale. Alors, quelle est votre question? "

Ceci est le texte d'une courte vidéo (voir ci-dessous) qui présente le portail des meilleures pratiques; avec cette vidéo, l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT) fait la promotion de son outil de diffusion des bonnes pratiques sur le Web. Le portail vise à relier les preuves scientifiques et les pratiques actuelles dans le domaine des addictions. Au-delà de la diffusion de l'évidence scientifique, l'objectif est de partager les meilleures pratiques entre les différents pays européens.

En date de mai 2015, le portail comprend cinq modules relatifs à l'efficacité des interventions ciblant la réduction de la demande. Ces modules concernent la prévention, le traitement, la réduction des méfaits et la réinsertion sociale. Un dernier module est dédié aux sujets émergents et comprend le seul thème des nouvelles substances psychoactives. En outre, chaque section est présentée avec un ensemble de projets européens dans le domaine, ainsi qu'un inventaire des directives et normes européennes.

Les résumés sont présentés dans un langage clair et concis et comprennent et des déclarations succinctes font état de ce qui n'a pas encore été mis en évidence. En outre, les lecteurs ont la possibilité d'examiner par eux-mêmes les éléments de preuve, y compris les références à des études et des revues, et chaque section offre des liens vers de vrais exemples de ces bonnes pratiques. Juste à côté de cette section, un lien pointe vers les différents outils, ressources et instruments d'évaluation en la matière. Pour terminer, peut-être pourrions nous proposer d'améliorer la case "Ce qui ne fonctionne pas", actuellement limitée souvent à: «Nous n'avons pas connaissance d'interventions susceptibles de causer un préjudice".

En conclusion, le portail des bonnes pratiques de l'OEDT est un service bien documenté et bien présenté pour tous ceux qui  souhaitent mettre en œuvre des programmes efficaces. Disponible en anglais seulement.

http://www.emcdda.europa.eu/best-practice